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Le Langage Perdu



3h du matin ! Le réveille sonna, nous fîmes tous réveillés en bousculade en rigolade avec des yeux entre-ouvert.

Nous nous prêtâmes à nouvelle quête celle d'un nouvel horizon jamais osé auparavant, un horizon sous un brouillard dense.

Mon rituel fut toujours celui de me rendre sur le balcon, d'où mon regard se tendit involontairement vers cette forêt, l'odeur des sapins emportés par le vent me parvint accompagné d'un chant de rossignol, une belle mélodie que j'avais appris a chanté à mes petits canaris.

Une très haute colline domine cette merveilleuse forêt, on dit parfois que c'est un volcan endormi, mais d'une vue lointaine si on arrive à bien distingué, une silhouette d'une femme endormi nous apparaît, sans doute pour ne pas interrompre son sommeil, donc aucune voiture ne peut monter jusqu'au bout, c'est juste un chemin de pierres et de terre bordé de myrtes et de lentisque que les pèlerins empruntent à pieds pour grimper jusqu'au sanctuaire de Yemma Gouraya, Yemma qui veut dire mère, une mère qui veille sur la ville.

Dominant la ville et le golfe de Béjaïa une vue saisissante sur la plaine embrassée par la méditerranée, ce fut un fort turc et aussi le lieu de culte de Yemma Gouraya.

Une histoire ancestrale émouvante transmit de génération en génération, on racontèrent que une sainte femme repris, s'échappa d'un pays lointain accompagnée de deux autres femmes se réfugièrent dans notre petite ville qui se nomma à l'époque des Romains SYDAL qui vient du mot Sayde en Arabe qui veut dire chasse et pêche.

Elles vécurent sur cette en toute sérénité avec les villageois qui firent preuve de dignité, de respect malgré la différence des confessions.

Une petite ville de paysans naïf, laborieux ne connaissant rien que cette paradisiaque qui remplit leurs coeurs de générosité, cette belle vertu qu'ils eurent en eux qui voulurent transmettre à chaque passager (étrange), d'ailleurs pour eux le mot passager ne fut pas le mot approprié par leur moeurs, alors ils employèrent le mot invité !!!! Mais qui ne fut pas partager parfois.

Tiens on dirait que la lumière de la jouissance voulut jouer des tours de cache-cache derrières des fonds obscurs des cagoules ! Des bouffes de poussière remontant du sol donnèrent l'aspect d'une tornade, des galopades de chevaux, des étranges une peau ridée par la chaleur ardente, des lèvres crochus par la soif.

Cette intrusion fit plongé le climat printanier des villageois dans le froid rude de l'hiver, un sentiment de peur ressentit les envahirent tous, deux faces qui n'arrivèrent pas à se reconnaître ! Des jours passèrent au fonds des murmures qui firent supplices aux âmes dévouées. Personne ne sût qu'elles furent leurs intentions.

Effectivement, la peur fut bien réel la tornade ne fut pas qu'une simple tornade, mais elle se transforma en un bel ouragan, le jour où ils repérèrent les trois jeunes femmes, c'est le désarrois total.

Les villageois impuissant, durent-ils se battre avec des branches d'olivier contre des branches épineuses ! Les trois femmes s'échappèrent vers cette forêt, avant d'atteindre le haut de la colline, elles cherchèrent a s'abreuver par miracle celle-ci se mit à jaillir en flux sous leurs pieds, elles se rafraîchissaient et se séparèrent chacune des trois vers un avenir incertain.

Yemma Gouraya atteint le haut de la colline ( de nos jours son histoire s'est diversifié on ne sait pas exactement si le fameux fort existait à l'époque ou pas). Enfin elle continua sa méditation dans un petit coin secret en collaboration avec les villageois.

Hélasse le mauvais sort ne l'épargna pas, elle fut capturé par les siens qui eux l'on décapita, car ils virent en elle une sorcière.

A revoir l'histoire je dirai qu'elle est semblable à celle de Jeanne Dark, on dirait qu'une énergie se répandit se leva à l'époque des quatre coins du monde pour que naisse une réalité sublime qui se confronta à des murs, elle retombe mais qui ne finit jamais de se transmettre !

Un souffle me frôla le coup, fini les rêveries dit mon frère ton sac et route pour la nouvelle quête.

Nous empruntâmes toujours le chemin vers la forêt, sous le brouillard dense avec des torches, un climat ventilé par des chants et de moqueries, nous fîmes le plus dur un raccourci puisant semé d'embûches sur le chemin qui longe la forêt nous prîmes un petit moment de repos au bord de la route pour que souffle reprend ! Soudainement on entendit un cri fin, un cri indistinct on se fixa les uns les autres le fameux souffle retenu, nous nous retournâmes tous nos têtes en même temps, avec la lumière de nos torches qui prit tout les sens pareil à un phare éclairant indiquant aux bateaux leurs direction, une tension palpable prit place suite à des chuchotements ressentis aux pieds qui finit par une dégénérescence total.

Aveuglés par cette peur nous prîmes tous la fuite. Un aboiement surgit au fin fond de cette mi-obscurité, un petit chien errant sauvage changeant le langage des sens par celui de son propre langage afin qu'il puisse être reconnu ! Souffrant tangue en marchant bougeant sa tête de gauche à droite du haut en bas, nous décidâmes de l'emmener avec nous, tout le monde se dépêcha nous dûmes arrivés à la plage de papa avant que le soleil aura fait ses premières lueurs, je l'appelle la plage de papa car il fut le premier homme de la ville qui osa eu le courage de s'aventurer avec des petits enfants voir même des bébés dans un lieu où on côtoya que des pêcheurs expérimentés, d'ailleurs certains d'eux le prirent pour un fou, un aveuglé ! Mais avec le temps on mûrit, même si l'expérience fut rude je le remercie ainsi que ma mère, car il voulait sans doute nous transmettre son courage son goût vers l'aventure vers la découverte.

Une très belle plage abritée par un grand phare qui ressort d'une chaîne de montagne, une plage aux rochers pointus là où l'on aperçut tout le fond et ses merveilles qu'on a l'impression de les touchés de plus prés alors que le fond est aussi loin qu'on ne pense.

Là où j'avais appris a savouré les différents goûts de crustacés.

Là où j'avais appris a nagé tout en laissant une trace de griffe sur le dos de mon père qui m'avait surpris en me lançant vers le large.

Là où j'avais appris a pêché les petits poissons aux couleurs d'arc- en-ciel qu'on surnomma les petites sirènes de mer.

Là où j'avais réussit a faire voler un cerf-volant offert par ma grande et bien aimée soeur sur un grand rocher que j'avais fini par être engueuler par mon père qui m'avait prise pour un singe.

Là où j'avais appris comment allumer un feu.

Là où j'avais appris ma première leçon de physique (l'effet de la chaleur sur les pierres).

Là où j'avais appris à survire, apprivoisé la loi de la nature, une nature sauvage vivante retirée de tout artifice.

Nous déposâmes nos sacs sous un grand rocher à l'abri des singes qu'une fois nous ont laissé sans presque rien pendant toute la journée sauf un petit bidon d'eau. Ce fut presque une journée de jeun.

Mais bon ça finissait toujours en rigolade.

A peine le soleil fit ses premières lueurs, un sentiment de fascination envahit mon âme j'aurai voulu arrêter, voler ce temps précieux, des flocons de nuages se mirent a flotté sur la mer endormie qui semble bien dorlotée et bien couverte on dirait une couverture de fourrure très subtiles qu'elle s'évapora avec la chaleur du soleil.

Je m'imaginais alors en ce moment dans cette subtilité entre ces substances inaperçu par les sens et de ce qu'ils peuvent bien conspirés ensemble, tiens voilà la lumière qui arrive ?







La goûte d'eau et la chaleur


Petite goûte d'eau, ta survie est-elle pareil à celle des papillons ?

Ou encore moins ?

Es-tu si précieuse ?

Pourtant tu es si modeste, discrète appropriée à toutes les couleurs du monde.

Le fameux caméléon te ressemble bien !

Que te fais cette chaleur ?

T'envie-elle ?

Ou a t-elle besoin de toi pour faire recycler le temps ?

La réponse en est une....................

D'un autre point de vue scientifique nous servent pour résoudre les énigmes de cet merveilleux univers pour mieux le servir ? Même la science semble se prosternée devant cette grandeur que peut-on lui associée ? Ou tout simplement lui offrir, un titre gratuit, comme ça le voyage sera plus simple, pourtant ce dernier reste malgré tout gratuit ! Je reviens à mon histoire.

Nous fîmes tous très heureux, une aventure réussit, le petit chien soufra de sangsue derrière ses oreilles, mon frère prit soigneusement le soin de les lui retirées nous lui fîmes un bain sous le soleil, l'eau salée de la mer sembla être un très bon cicatrisant, du point de vue négatif je pensais à ce moment là qu'il redeviendrait un animal sauvage et que le rapprochement fut juste le mal dont il soufra, mais ce fut le contraire grâce à quoi ?

Au crépuscule nous prîmes le chemin du retour, nous dûmes de nous séparer du chien cela fut désolant mais nous pûmes rien, il comprit par des caresses échangées et il resta dans sa demeure, je revois encore comme cela datait d'hier sa queue qui nous fit des signes d'adieux.

Ce petit animal qui avait mit en pratique ses sens pour se rapprocher du langage humain.

Cette jeune sainte qui avait retrouvé son langage chez une autre communauté hors de sa confession, son parachèvement elle finissait par les suivre car ils croyaient en elle et de ce qu'elle portait de si lourd !

J'ai compris dés lors qu'il existe au fond de chaque espèce quelle soit animal, humaine un langage commun transmit par une certaine pureté, une certaine traction que parfois nous ressentons parfois non !

Le langage humain qui reste une énigme comme les différentes énigmes de l'univers, il change de génération en génération à la recherche d'un autre langage plus approprié plus rapproché peut être mieux explicite et simplifier, mais ce changement se perpétuerait-il pour atteindre le langage universel ? Ou descendrait-il au plus bas ?

Le langage humain qui peut s'ouvrir a de multiples langages dont chaque être puisse trouver sa place sous diverses formes car on reste tous liés par une succession de lumières attachées à la source qui est le point de départ de l'affection pour le monde quelles que soient les divergences.

Mais il reste ce grand MOI dominant ! A chacun sa définition ?

NOBLE LUMIERE

Toi qui nous renvois tes multiples lueurs à travers l'univers

Par un soleil qui nous réchauffe qui nous éclaire

Tien ce beau soleil ne sert qu'a réchauffé !

Oh ! Non je vois bien qu'il joue le rôle de la fameuse boussole

            La fameuse boussole de longévité

Grâce a elle tout arrive à point voulut !.......

Noble lumière, tes lueurs sont toujours présent, par ce jour brumeux

Et la nuit je ne te vois pas te caches-tu pour que corps se repose et âme s'apaise ?

Ah je vois la belle nuit tu l'as pas mise au cachot

Tu préfère sans doute apparaître plus douce

Tu l'as dessinée comme une oeuvre d'art

Une oeuvre d'art aux coeurs attristés

Une consolation pour la peur

Comme une veilleuse véhiculée par cette énergie que parfois elle se coupe comme dans un jour de tempête, dans ce coin obscur j'attendrai ton retour

En attendant ton retour voilà je te retrouve malgré tout en allumant ce bois accompagné d'une belle histoire

histoire prés de cette cheminée, ou avec cette belle bougie qui brûle qui se fond en larmes.....

Avec cette plaine lune qui nos éclaire. Oh ! On dirait un feu de camp


Est-ce sa chaleur qui met toute cette tension qui se crée en nous ?

Ou veut-elle nous excitée par sa splendeur ?

Même cette mer elle l'a réveillée, elle remonte en surface lui souhaitant la bienvenue

Oh ! tien j'ai perdu ma notion de temps

Mais avec ta belle lune je m'y rattraperai, je saurai comment calculer le temps même si tout tombe en ruine


TOI NOBLE LUMIERE


Es-ce un signe concret de ta part pour nous prouver ton existence ?

Peux-tu existé en nous autrement ?

Quel sentier semble pouvoir l'acquérir ?

Laissant répondre les coeurs !

Ces coeurs, dans le flux des diversités dont tu t'es égaré

Dans le flux des paroles tu t'es effacé

Voilà un autre langage qui est né après toi

Laissant place à un monde ténébreux

Mais te voilà tu ne t'es pas perdu malgré tout ?

 

 

 


Amour,


Ton nom est si bref mais d’une profondeur émerveillée diversifiée.

Il me semble connaître ton nom autrefois, autrefois véhiculait par un train qui ne cessait de donner naissance a des wagons mensongers, n’osant même pas franchir le pas sur ses railles venimeuse.

Ton nom qui se fait écho en moi, cet écho qui ne cesse de s’étendre des quatre coins de l’horizon.

Cet horizon a perte de vue qui s’étend à nouveau devant moi avec une inspiration de crainte et de fascination.

Une interpellation de ta part ? Sous une autre présentation ? !

Je ne te connais pas, mais je pars à ta recherche à la recherche de ton énigme dans tes lettres avec une vision plus mûre.

A ta première lettre : un pilier pour le monde.

A ta première lettre : une déesse qui trône l’univers enchanté des lettres.

Veux-tu me dévoiler les secrets du reste de tes soldats ?

Ah ! Je vois déjà que t’as choisi tes fidèles trois voyelles dont tu es la première comme pour voir, explorer ton monde accompagné de deux consonnes chantantes.

Ce « M » qui t’enchaîne, une chaîne de montagnes qui remontent qui descend qui se croisent.

Heureux sont ceux qui se croisent et qui demeurent.

Ce « M » qui se transforme à la fois en une paire d’ailes afin qu’ils puissent voler encore plus haut.

Ah ! Je vois quelques-uns uns qui ne se sont pas heureux, vêtu de courage, repartent vers d’autres horizons de ton monde, vers une autre quête de bonheur.

Mais cela disent qu’ils n’ont pas de courage, disent qu’ils ont fait naufrage !!!!

Un naufrage sur ta terre ? Mais ça n’existe pas, elle si solide si veille si expérimentée qui connaît le monde a sa naissance.

Tu les envois vers ce « O » rouler en eux même comme font les pigeons rouleurs, ils roulent, roulent sur eux même avant de plonger en profondeur. Se chercher en eux même ? Revoir leurs erreurs, sans doute pour éviter de tomber dans ton trou, ce trou dont l’ombre se fait tapis aux illusions et aux déchirements.

Ce cercle qui rime à la fois à la forme d’une graine qu’on la semant quelque part dans ta terre fait pousser des portes vers de nouveaux espoirs.

Ce cercle qui rime à la fois à ce donneur universel sans analyse ce qu’il est généreux.

Quelle dure tâche d’en arriver jusqu'à la !

Un moment de répit s’impose sur la terre de « U », une consonne une note de musique, une belle rive rafraîchissante apaisante qui redonne souffle et renaissance à une vie nouvelle, accompagné d’une très belle récompense dans les deux extrémités un guidon de fidélité et de sincérité. Véhiculé par ce « R » comme des rois qui nous met en route, qui nous guide vers ce champ afin de cultiver ton NOM.

Amour ton énigme n’est pas résolue.

Belles seront les paroles pour t’exprimer, elles resteront muettes car tu es la source, une source mesurée dans chaque potentiel d’un être. Ces êtres qui restent muet semble te voir, intimider par présence, veux-tu t’exprimer à leur place ?

Belles seront les plumes, les encres qui te sillonneront à travers des feuilles, des livres, des romans se ternissent face à ta grandeur car tu l’œuvre du papier lui-même qui à l’origine pousse sur ta terre.

Belles seront les chefs d’œuvres te représentant ne rempliront pas ton monde, car la terre est tienne.

Tout semble se prosterner devant toi !!!!!!

Oh ! Toi déesse ton pouvoir de créativité qui s’allume en moi comme flambeau même aux jours obscurs égarés sa lueur ne me laisse guerre place aux aventures délirante. Quel BEL ANGE gardien es-tu !!!!!!!

Oh ! Toi déesse donne-moi ton pouvoir de délivrance afin que je puisse délivrer ton bonheur qui me déchire. Ce bonheur déchirant enfoui prisonnier inclinant ses yeux de tout mirage de toute blessure. Ce bonheur déchirant qui se fait fièvre, timide me rendant visite que dans l’anonymat repoussant les blessures déchirantes, Ce croisement un impact de chaud et de froid qui se conjugue en plusieurs goûtes d’eau.

Oh ! Toi déesse donne-moi ton pouvoir de renaissance afin que je puisse te faire renaître à travers mes sentiments ne laissant trace à aucune des conséquences d’une grande partie brisée emporter par cet inconscient pour l’être que le destin me réservera et envers chacun des êtres.

Mais devant ta grandeur je reste toujours muette.

Me feras-tu signe un jour, puisque je te connais

Comment puis-je te reconnaître à travers ces

Multitudes façades ? (Une lumière ne voit qu’une lumière) ?



 

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